Les débutants en matière de création d’entreprise se perdent facilement entre SA, SARL, SAS, EI ou EURL. Pourtant le choix du statut juridique de sa société est une étape primordiale. C’est la raison pour laquelle le présent article donne de meilleurs conseils dans le choix du statut juridique.
Critères pour mieux choisir la forme juridique de son entreprise
Le choix de la forme juridique de son entreprise ne se résume pas seulement aux avantages et inconvénients de chaque statut. Un certain nombre de critères doivent être pris en compte dans la prise de décision. Il faut d’abord tenir compte dans un premier temps de la nature de ses activités. Également, le choix dépend de l’organisation patrimoniale, du régime fiscal et social de l’entrepreneur et du fonctionnement de la firme. Certains statuts nécessitent la volonté de s’associer. Après l’étude de tous ces paramètres, il est donc facile de limiter la liste des choix pour son enseigne. Il serait aussi conseillé de faire appel à un professionnel de droit. Pour plus d’infos, rendez-vous sur le www.question-juridique.fr.
Types de statut pour les entreprises individuelles
L’entreprise individuelle reste une structure légère et particulièrement maniable. Elle demande notamment moins de frais de formalité et de contraintes qu’une grande société. Les entrepreneurs qui sélectionnent une telle option disposent de nombreux choix en matière de forme juridique. Ils pourront opter pour l’Entreprise Individuelle (EI) ou encore Entreprise Individuelle à Responsabilité Limitée (EIRL). Les deux statuts ont pour particularité de confondre le patrimoine de l’entreprise avec celui du dirigeant. En cas de conséquences, les dettes de l’entreprise sont de même celles de ce dernier. Mais il est préférable de limiter les risques en affectant une partie du patrimoine à la firme.
Types de statut pour les grandes sociétés
Ici, il s’agit d’une personne morale pouvant être conclue par des associés ou un entrepreneur seul. Si la structure génère plus de charges alors elle se doit de protéger son patrimoine. L’entrepreneur n’a pas le droit d’utiliser les biens de son entreprise à des fins personnelles sous peine d’être poursuivi pour abus de bien sociaux. Dans ce cas, ils pourront en effet opter pour une société à responsabilité limitée (SARL), société par actions simplifiée (SAS), société anonyme (SA). Le choix a donc de l’influence sur le fonctionnement et la fiscalité de l’établissement.